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Botanical Sensuality

Sizes:
60 x 43
100 x 71
Execution/framing
Contrecollage sous verre acrylique
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 60 x 43 cm (Dimensions extérieures) Largeur de profil 15 mm avec verre acrylique mat, chêne Spessart noir, 64,4 x 47,4 cm (Dimensions extérieures) Sur papier premium (mat) non monté ou encadré. Expédié roulé.
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 60 x 43 cm (Dimensions extérieures)
Execution/framing
Contrecollage sous verre acrylique
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 100 x 71 cm (Dimensions extérieures) Largeur de profil 15 mm avec verre acrylique mat, chêne Spessart noir, 104,4 x 75,4 cm (Dimensions extérieures) Sur papier premium (mat) non monté ou encadré. Expédié roulé.
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 100 x 71 cm (Dimensions extérieures)
Botanical Sensuality
2020 / 2022 DPE12
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TVA incluse plus CHF 12,90 de frais d'envoi

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INFORMATIONS SUR LE BAGROUND
In Daria Petrilli’s artworks the female figures appear ethereal and unreachable. The artist inserts them into a fairy-tale afterlife where they are often accompanied by animals. In clothes from a distant era, these pale Victorian beauties may look to the viewer with a piercing gaze. Some extend long fingers into the nothingness, reminiscent of the Italian Mannerist painter Bronzino. In Daria Petrilli’s extraordinary works, the women become mystical beings, their bodies adorned with shells and flowers. They are surrounded by ibises, parrots, or geese that appear more like the heralds of purgatory than birds of paradise. The artist says: “To me, these birds are messengers of primordial obsessions. That is why they appear in my work so often.”

In the Dreaming series, Daria Petrilli brings us into these fairy-tale worlds. In “Lady of the Red Ibis,” a woman leads six red ibises through a dreamscape, holding leashes tied around their long necks. Eyes down, she seems to be frozen in place. In "Dual Nature", identical twins look out from the piece with an intense gaze. One appears to be wearing a meadow, the other is dressed dramatically in black. Different in nature. In "Loneliness of an Anthurium", the solo laceleaf flower reflects the solitude of the protagonist whose head is, quite literally, up in the clouds.

Daria Petrilli digitally edits existing images, resulting in pieces of figurative symbolism reminiscent of classical painting. On her creative process, the Italian artist says: “I reworks photographs with digital painting interventions. I create a collage ... a triumph of Photoshop. I could have also used traditional instruments, but these illustrations were born as a personal amusement and I made them without the vetoes of a client and in the most immediate way.”

Daria Petrilli’s style blurs the lines between reality and imagination. With her singular visual vocabulary, she guides us into mystical worlds, making the subjects’ loneliness almost physically perceptible. The artist finds the balance between the Italian Renaissance and the subversive language of Pop Surrealism.
BIOGRAPHIE
2021Ferribiella
2019Brightness Magazine
Womankind, Denmark
2018O, The Oprah Magazine, USA
Shiseido, Japan
Barnum, Italy
3x3 Mag, USA
2017Brightness Magazine 2, Iran
Delpozo, Portugal
2015Pi Magazine, Italy
2008Illustrakids, Italy
VITA
Daria Petrilli was born in Rome in 1970 and studied art at the Instituto Europeo di Design Roma. She has illustrated multiple children’s books. Petrilli has received many awards, including the Accademia Pictor Award of Turin three years in a row from 2006 to 2008. She is a member of the Italian Illustrators Association. Her work has appeared in numerous solo and group exhibitions around the world.
Expositions
2017Exibart, Cosenza, Italy
Cosmos Gallery, Vence, France
Different Gallery, Rende, Cs. Italy
2015Nightmare in Wonderland, Pink Zeppeling Gallery, Berlin, Germany
Trenta Formiche Contemporary Art, Rome, Italy
2022FANTASMA, Kunst im Schloss Untergröningen e.V., Germany
2019Graphiste, Italy
2018Paratissima, Turin, Italy
2016Exit voto, Rome, Italy
World Illustration Awards Exhibition, London, UK
Biennale di Salerno, Salerno, Italy
2015From Fairy Tale to Manifesto, Abano Terme, Italy
Saluzzo Arte, Salluzo, Italy
The House of Schile, Benevento, Italy
2011Bologna Illustrators Fair, Italy
2009Illustrarte, Lisbon, Portugal
2001“Stories of Cities” by Teatrio, Italy
2000Tehran Illustration Biennale, Tehran, Iran
INTERVIEW
Picasso a dit un jour « Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver. » Et vous, où trouvez-vous votre inspiration artistique ?

Je puise mon inspiration artistique dans mon propre univers imaginaire et onirique, lequel est traversé par de nombreuses influences : les mystères, la photographie, le cinéma, l’architecture, la mode.
La nature est également une inépuisable source d’inspiration, surtout les oiseaux, qui apparaissent souvent dans mes œuvres. Je trouve que leur regard évoque une certaine agitation primitive.
J’ai un œil aguerri pour les choses du passé. J’aime les atmosphères décadentes et authentiques où le temps semble s’être arrêté. Dans ces environnements, je fais appel à des personnages féminins, à la fois pour leur donner vie et pour transmettre un sentiment d’aliénation de la réalité.
Je suis également une passionnée d’archéologie et d’histoire de l’art. J’ai toujours aimé étudier les compositions parfaites des artistes de la Renaissance, me plonger dans les atmosphères surréalistes de Magritte ou de Remedios Varos, me laisser bercer par les palettes de couleurs d’un Balthus ou d’un Donghi. Bien souvent, ces références se ressentent dans mon travail.


De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?

Lorsque j’ai une idée en tête, même si celle-ci n’est pas tout à fait claire, ni tout à fait définie, ou qu’il s’agit simplement d’une suggestion de l’esprit, j’essaie de suivre ce mince « fil conducteur » qui, lentement, se déroule dans ma tête. À partir de là, j’entame une recherche photographique dans mes archives et consulte une grande quantité d’images. J’en sélectionne ensuite quelques-unes puis assemble les fragments décomposés : je les mélange, les agrandis ou les réduis, les découpe, les copie, les colle, leur ajoute des textures, en change la perspective… Surtout, je retravaille l’ensemble à l’aide de pinceaux numériques.


Quel est votre livre préféré ?

Le Pendule de Foucault, d’Umberto Eco.


Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
J’aimerais rencontrer Magritte, un artiste qui m’a toujours fascinée. Il est l’une des figures majeures du surréalisme, et comme j’estime avoir toujours compté à ma façon parmi les artistes du surréalisme pop, nous pourrions avoir une conversation intéressante. J’aimerais lui demander comment il a suivi son propre « fil conducteur » et comment il a réussi à transposer son langage visuel.


Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été intéressée par l’art...
J’ai suivi ma passion avec ténacité et ai pour cela bénéficié d’un enseignement académique classique. J’ai d’abord fréquenté une école d’art, puis l’Istituto Europeo di Design (Milan), dont je suis sortie diplômée comme illustratrice puis décoratrice d’intérieur.
En tant qu’illustratrice, j’ai travaillé pendant de nombreuses années dans les domaines de l’édition et de la publicité. Entre-temps, je me suis créé un espace personnel dans lequel j’ai commencé à exécuter ces œuvres pour mon propre plaisir. Au fil du temps, ils sont devenus de plus en plus représentatifs de mon imagination et, grâce à leur diffusion sur diverses plateformes, ils ont fini par rencontrer un certain succès. Voilà comment est née ma marque de fabrique stylistique.

Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé(e) ?

D’anciens professeurs m’ont beaucoup inspirée et motivée, mais cela remonte à quelques années maintenant. Dans ma vie quotidienne, je suis soutenue par ma famille, bien entendu. Néanmoins, tout processus créatif implique selon moi de se détacher de la « normalité », autrement dit de plonger dans un univers dont je possède seule le secret et de faire abstraction du monde connu.


Imaginez que vous possédiez une machine à remonter le temps. Où vous transporterait-elle ?

Très certainement à Paris, au début du XXe siècle, époque de grands changements et plaque tournante des innovations picturales modernistes.


Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?

J’aime l’architecture et la décoration d’intérieur, j’ai hérité de ma mère une passion pour cette dernière. Je citerai également la musique pour laquelle j’ai toujours été très douée. Je ne travaille jamais sans un fond sonore. Et puis il y a les livres, le cinéma, la mode, les voyages…. Disons que je suis curieuse du monde et que j’essaie toujours de conserver un œil ouvert et attentif sur tout ce qui m’entoure et même au-delà.


Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?

Je cherche en ce moment de nouvelles impulsions pour un projet personnel exigeant quelques recherches iconographiques. Je travaille également sur divers projets éditoriaux qui devraient être publiés prochainement.

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