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Green Gulsh

Sizes:
50 x 89
70 x 125
Execution/framing
Contrecollage sous verre acrylique
épaisseur 2 mm brillant, sans cadre, 50 x 89 cm (Dimensions extérieures) Largeur de profil 15 mm avec verre acrylique brillant , érable canadien brun, 54,4 x 93,4 cm (Dimensions extérieures) Sur papier premium (brillant) non monté ou encadré. Expédié roulé.
épaisseur 2 mm brillant, sans cadre, 50 x 89 cm (Dimensions extérieures)
Execution/framing
Contrecollage sous verre acrylique
épaisseur 2 mm brillant, sans cadre, 70 x 125 cm (Dimensions extérieures) Largeur de profil 15 mm avec verre acrylique brillant , érable canadien brun, 74,4 x 129,4 cm (Dimensions extérieures) Sur papier premium (brillant) non monté ou encadré. Expédié roulé.
épaisseur 2 mm brillant, sans cadre, 70 x 125 cm (Dimensions extérieures)
2019 / 2023 / BSR17
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INFORMATIONS SUR LE BAGROUND
Après d’intenses années passées en Islande et plusieurs voyages autour du globe, le photographe Ben Simon Rehn a posé ses valises dans le massif allemand du Harz. C’est d’ici, désormais, que cet ancien sportif de haut niveau s’embarque vers ses lieux préférées – destinations qui ne sauraient être plus opposées : chaleur du désert du Namib, glaces de l’Arctique, fraîcheur aride des vastes étendues de l’Islande.

On ressent d’ailleurs dans ses travaux un intérêt manifeste pour les décors naturels offrant à l’oeil humain de riches moments de contemplation, mais où les conditions de vie sont particulièrement rudes, voire inhospitalières. La juxtaposition de ces latitudes contraires rend ses clichés encore plus fascinants. Rocher, eau, sable, glace, verdure, nuage : il s’agit là de composants récurrents qui confèrent aux images leur couleur, leur corps, leurs contours, leur profondeur, leur contraste. Mais c’est surtout la lumière particulière, le regard panoramique du photographe qui modèlent la plasticité de ces paysages et leur donnent vie.

Tout aussi surprenant : la similitude des sujets dans la différence. Tantôt, les ondes incandescentes d’un sable chaud ; tantôt, les vibrations de la glace. Là où désert et océan achoppent de manière presque surréaliste, une immense montagne volcanique moussue surgit comme par magie du néant d’un désert de roches noires. Austérité, concentration, immersion : le monolithisme des couleurs est commun aux deux paysages. Sphères macroscopiques de la nature, les deux zones climatiques offrent suffisamment de moments dignes d’une représentation expressionniste.

La composition picturale concentre toutes ces forces naturelles en les structurant avant de les réunir en une expérience paysagère époustouflante qu’il serait dommage de ne pas prendre le temps d’admirer. Ces images nous permettent, sans trop d’effort, de voyager vers ces régions du monde peu explorées et d’assouvir notre soif de liberté, de silence et de majesté. Emporté par les vents ascendants et les rafales vers les hauteurs, ces moments inaltérables planent au-dessus de notre modeste quotidien.

INTERVIEW

Picasso a dit un jour « Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver. » Et toi, où trouves-tu ton inspiration artistique ?
Picasso a, me semble-t-il, mis le doigt sur le problème. Mes images reflètent mes expériences personnelles, mes sentiments, mais aussi certaines actualités du monde et divers sujets que j’ai envie de traiter. Pour moi, la créativité n’est pas un processus continu, il s’agit plutôt d’une onde mouvante, dont on peut rarement prédire l’ampleur. Étant dans l’incapacité de forcer les choses, je me contente de la suivre tout en m’ouvrant à d’autres médiums pour y trouver de nouvelles idées.


De l’idée à sa réalisation : comment abordes-tu ton travail ?
Certaines idées me viennent tout simplement pendant les séances photos, tandis que d’autres clichés nécessitent une planification un peu plus étudiée. Je fais surtout attention aux conditions météorologiques. Par exemple, j’aime bien sortir quand il ne fait pas très beau. Alors qu’il peut pleuvoir pendant des heures, le moment où le ciel s’éclaircit est celui que j’attends avec le plus d’impatience car il ne faut pas le rater. Mais tout ne se passe pas toujours comme on l’a imaginé. Quoiqu’il en soit, c’est une démarche qui me plaît et qui génère souvent des images fantastiques car spontanées.


Quel est ton livre préféré ?
Au Groenland, j’ai lu Arctic Dreams de Barry Lopez, dont la richesse lexicale employée pour décrire l’Arctique m’a laissé sans voix. Bien souvent, il est difficile d’exprimer ce que l’on ressent à propos de ces régions reculées et Barry Lopez s’en charge très bien à ma place. Il y révèle en outre de précieuses informations scientifiques que j’ignorais auparavant. Enfin, je pourrais bien évidemment relire à l’envi Le Seigneur des anneaux.


Avec quel artiste aimerais-tu prendre un café et de quoi parleriez-vous ?

Bien qu’il ne soit pas artiste, avec Carl Gustav Jung, un personnage hors du commun. J’aimerais beaucoup également passer une soirée avec Sebastiano Salgado ; il est de loin mon photographe préféré. Je ne saurais trop recommander son film Le Sel de la Terre. Ce qui m’impressionne le plus, c’est la façon dont il relate les problèmes sociaux et environnementaux dans ses photos. C’est un don exceptionnel que j’admire car j’aimerais moi-même travailler davantage dans cette direction. Pouvoir échanger sur ses projets, actuels ou passés, serait une expérience à tout point de vue enrichissante.


Comment en es-tu venu à l’art ?

La nature islandaise a eu un impact considérable sur ma carrière, ainsi que des accointances qui travaillaient déjà comme photographes. Même étant jeune, j’ai toujours manifesté un intérêt certain pour l’art. Mais à l’époque, je pratiquais surtout des sports de haut niveau et avais donc moins de temps à nourrir ma fibre artistique.


Par quelles personnes de ton entourage es-tu particulièrement influencé(e) ?
Par mes amis, ma famille et tous ceux qui m’impressionnent. D’après mon expérience, on rencontre souvent les gens les plus intéressants dans des endroits inattendu. Bien souvent, ils ont de passionnantes histoires à raconter. De plus, il est toujours très utile de parler de son travail avec ses pairs.


Imagine que tu possèdes une machine à remonter le temps. Où te transporterait-elle ?

Avant l’humanité, pour voir à quoi ressemblait la planète, la nature et la faune. À cette époque, je pense que le monde était un paradis absolu. Des histoires du XVIIIe siècle décrivent des bancs de baleines si grands qu’il leur fallait une journée pour passer devant ceux qui les observaient, à l’instar des troupeaux de bisons qui se déplaçaient par millions à travers les prairies d’Amérique. Quel spectacle cela devait-il offrir !


Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?

Sans conteste, le sport et la peinture. Les deux sont pour moi une forme de méditation, car ils m’apportent l’équilibre dont j’ai besoin. Sur toile, à l’acrylique ou avec tout autre support, j’aime créer des choses abstraites. L’année dernière, j’ai redécouvert la course à pied. J’éprouve un plaisir incroyable à profiter de la nature tout en écoutant de la bonne musique et en me maintenant en forme.


Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?

Patterns of Life, un ouvrage sur les formes et structures qui se répètent en série dans nos habitats et autres décors naturels. Certes un projet de longue haleine, mais je me suis promis de publier au moins un album photo dans ma vie.

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