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À propos de Massimo ColonnaL’architecte espagnol Ricardo Bofill (1939 - 2022) fut l’un des représentants les plus influents du post-modernisme. Ses réalisations ont façonné le paysage urbain de Paris, de Tokyo ou de Barcelone, et continuent d’inspirer de…À propos de l’œuvre
Dans sa série The Journey, Massimo Colonna invite le spectateur à effectuer un voyage cinématographique dans le temps. À grand renfort de designs vintage et d’une surprenante matérialité, il redonne vie à de vieux souvenirs, aux charmantes stations balnéaires du littoral italien. Colonna s’inspire de lieux réels qu’il transforme, grâce au rendu 3D, en idéaux d’architecture aux couleurs pastel.INFORMATIONS SUR LE BAGROUND
L’architecte espagnol Ricardo Bofill (1939 - 2022) fut l’un des représentants les plus influents du post-modernisme. Ses réalisations ont façonné le paysage urbain de Paris, de Tokyo ou de Barcelone, et continuent d’inspirer de nombreux artistes. Dans sa nouvelle œuvre intitulée Sea View, Massimo Colonna transpose l’essence de la philosophie de Bofill en une impressionnante composition d’architecture et de lifestyle marin. Des couleurs à la fois douces et fortes se marient ici à des formes géométriques claires. Pour le spectateur, une irrésistible invitation à rêver de l’endroit.
The Journey
Une incomparable joie de vivre se dégage de la série The Journey signée Massimo Colonna. À grand renfort de tons pastel et de designs vintage, l’artiste crée des impressions qui nous emmènent pour un voyage dans le temps, périple cinématographique dont le décor est situé sur la côte italienne. Ici, le ferry et la plage sont des lieux intemporels, chargés d’émotions, dans lesquels on s’immerge instantanément. Des détails soigneusement agencés, une matérialité presque palpable, des couleurs finement assorties : tout ceci contribue à façonner cette ambiance d’un incomparable attrait. L’artiste souligne une fois de plus sa capacité à recréer des lieux idéalisés avec lesquels le spectateur établit un lien immédiat.
À l’instar du célèbre réalisateur Wes Anderson, Massimo Colonna reprend dans ses représentations des éléments stylistiques passés archiconnus qu’il exagère délibérément. Ainsi parvient-il à restituer avec brio la nostalgie dont sont emplies ces villes côtières transalpines, convoquant au passage certain un esprit d’évasion.
Amalfi Coast
Si la beauté de la côte amalfitaine est légendaire, nul autre que Massimo Colonna ne pouvait lui rendre un plus bel hommage qu’avec son nouveau cycle éponyme intitulé Amalfi Coast. L’artiste italien transforme ce lieu enchanteur en compositions colorées débordant de joie. Démontrant une fois de plus son talent pour imbriquer nature et architecture, il met en scène ses motifs dans une perspective peu ordinaire, largement façonnée par la géographie du lieu. Érigées à flanc de colline, ces demeures offrent une vue imprenable sur la baie qui s’ouvre en contrebas. Dans les œuvres signées Massimo Colonna, on ne ressent pas seulement la chaleur estivale ni la brise marine de l’Italie méridionale, on se prend aussi à rêver sur la balustrade en train de regarder les bateaux.
Située au sud de Naples, la côte amalfitaine jouit d’une longue tradition de villégiature. Sous l’Empire romain déjà, les plus riches citoyens s’y faisaient construire de somptueuses villas élégamment décorées. Aujourd’hui, la région est l’une des destinations les plus prisées d’Italie. En 1997, elle a été inscrite au patrimoine mondial de l’humanité. Outre les touristes venus en nombre, le golfe de Salerne attira également des artistes renommés. Amoureux du lieu, Paul Klee et Picasso s’inspirèrent volontiers de son ambiance méditerranéenne et de ses vues magnifiques. Le prix Nobel de littérature John Steinbeck écrivit un jour à propos du petit port de pêcheurs de Positano : « J’ai comme l’impression qu’à Positano, le monde est vertical ». Massimo Colonna transforme cette fascination en une nouvelle expérience artistique à retrouver chez soi au quotidien.
NFT in A Box – Amalfi
Une brise effleure le belvédère de cette magnifique villa de la côte amalfitaine, près de Naples. Les lauriers roses y sont splendides ; un rideau clair ondoie délicatement dans l’embrasure de la porte comme s’il dansait avec le vent. Le cadre respire la simplicité, une fraîcheur typiquement méditerranéenne. Les plantes, la lumière et les couleurs sont parfaitement assorties au carrelage blanc et jaune de la terrasse. Le panorama est pour le moins séduisant : un idyllique moment de l’après-midi, où l’esprit peut vagabonder à l’envi dans une résidence à flanc de coteau avec vue sur mer. Par le simple ajout d’une courtine, l’artiste insuffle à la perfection du décor un flair méridional d’une rare intemporalité.
Japanese Garden
Japanese Garden est une série qui se distingue par l’élégante interaction de la nature avec l’architecture. Massimo Colonna les relie en une forme idéalisée qui poursuit et modernise la grande tradition des jardins japonais. Il y met en scène divers éléments traditionnels du paysagisme extrême-oriental en association avec des constructions contemporaines. Ses œuvres enjoignent à s’extasier devant l’esthétique des lieux et à retracer l’euphonie des détails qui les composent.
Elles s’inspirent de ces paradis multiséculaires et mondialement célèbres, véritables oasis de détente à l’esthétique si particulière. À Kyoto, le temple Shinsen-dō datant de l’ère Edo en est sans doute l’exemple le plus frappant. Celui-ci n’a pas manqué de surprendre l’artiste par son atmosphère zen.
Arbres, structures aquatiques, lits de gravier : dans ses créations, tous entretiennent une relation passionnante les uns avec les autres. Ici, la finesse et la clarté des lignes s’amalgament en une composition époustouflante diffusant une énergie ô combien méditative. Les maisons qui entourent les jardins invitent le spectateur à se sentir chez lui et à s’imprégner de l’ambiance qui y règne. À l’arrière-plan, les montagnes boisées rehaussent les compositions et offrent aux pavillons un cadre naturel s’accordant à merveille avec les enclos. Mêlant tradition et modernité avec brio, il crée des œuvres d’une intemporelle beauté.
Marrakech
Marrakech est l’une des quatre villes royales du Maroc. Un lieu chargé d’histoire, dont le mythe a été forgé par de nombreuses légendes. L’artiste Massimo Colonna a choisi de dédier son travail à l’ambiance curiale de la célèbre cité : en s’emparant de la magie du lieu, il la transforme en une composition architecturale idéalisée interagissant avec des oiseaux exotiques et paradisiaques. Véritables invitations au voyage, ses œuvres stimulent l’imagination du spectateur, qui voit se réaliser l’idée d’un Occident arabe empli de mystique. Massimo Colonna dévoile la ville à sa manière : sous la forme d’une architecture virtuelle, non déterminée par la statique, mais par les lois de l’esthétique. Associée aux oiseaux, qui rehaussent avec élégance les palais et jardins, elle se métamorphose en une expérience visuelle saisissante, tant par l’harmonie des couleurs que par celle des formes.
Fondée au XIe siècle, Marrakech gagna en importance lorsqu’elle s’imposa comme capitale de l’Empire almoravide. Emblème incontesté du Maroc, sa célèbre mosquée Koutoubia est l’un des plus importants édifices cultuels de la région. Classée au patrimoine mondial de l’humanité, la vieille ville de Marrakech fait chaque année le bonheur de millions de touristes. Massimo Colonna a choisi la ville comme sujet de ses travaux tout simplement parce qu’elle suscite de nombreux fantasmes. Saisi dès le premier instant par la féérie des lieux, celle-ci l’a poussé à lui rendre hommage dans des mises en scène d’inspiration orientaliste.
À la base du travail artistique de Massimo Colonna, l’on retrouve toujours la photographie. Ses œuvres voient le jour au terme d’un processus numérique élaboré, qui utilise tous les moyens offerts par la 3D pour élaborer des projections architecturales. Cette approche lui permet de découvrir sans cesse de nouvelles possibilités et ainsi de concevoir des demeures fascinantes d’harmonie et de beauté. Il confère à ses images une touche personnelle en recourant largement aux couleurs pastel afin de faire ressortir le caractère onirique, presque abstrait, de ses dessins. Massimo Colonna est né à Scandiano, en Italie du Nord. Il y a découvert très tôt sa passion pour la photo, à laquelle il s’adonne encore aujourd’hui. Il travaille actuellement pour de nombreux clients de renom venus du monde entier. Quant à ses créations artistiques, elles sont très recherchées au niveau international.VITA
Massimo Colonna est né et a grandi à Scandiano, dans le nord de l’Italie. Après s’être spécialisé dans le traitement d’images et de rendus, il cultive une forte passion pour la photographie et l’art 3D. En 2018, afin de pouvoir concrétiser ses propres idées il décide de s’établir à son compte en tant qu’artiste indépendant – début d’une grande aventure personnelle et visuelle qui ne cesse de s’enrichir. Massimo Colonna crée des images oniriques et minimalistes dans lesquelles se rejoignent rêve et lucidité. Ses succès artistiques lui ont permis de collaborer avec des marques, magazines, artistes et designers de renom. En 2020, il fonde le studio Il Magma en compagnie de Chiara Ormelli.INTERVIEW
Picasso a dit un jour « Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver. » Et vous, où trouvez-vous votre inspiration artistique ?
Je puise mon inspiration dans mes souvenirs d’enfance, dans des voyages restés lettre morte, dans ce que je vois autour de moi. J’essaie par la suite d’imaginer comment recréer puis assembler les éléments qui me trottent dans la tête.
De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
En général, je pars d’un sujet ou d’un espace donné, puis commence à le dessiner en 3D ou sur papier afin de me faire une idée du résultat. Une fois satisfait, il ne me reste plus qu’à ajouter les détails.
Quel est votre livre préféré ?
Je n’en ai pas un en particulier. Néanmoins, il y a deux écrivains que j’aime beaucoup : Andrea Camilleri et Gianni Rodari, que j’ai récemment redécouvert en faisant la lecture à mon fils.
Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
J’aimerais beaucoup discuter avec Marina Abramovic et Ansel Adams. J’aurais adoré que M.A. me guide à travers ses méthodes et idées, et pouvoir accompagner A.A. dans certaines de ses expéditions photographiques. On aurait parlé tirage et développement photo.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?
Jeune, mes parents m’ont offert plusieurs appareils photo, mais en jouet ! Quant à mon père, il n’a jamais cessé de prendre des photos avec un vieux reflex que je possède toujours. Il est probable que tout ait commencé quand j’étais enfant. Au fil du temps, les technologies ont évolué mais l’envie de créer et de m’exprimer est restée la même.
Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé(e) ?
Par tout le monde. N’importe qui peut être source d’inspiration et vous amener à créer quelque chose.
Imaginez que vous possédiez une machine à remonter le temps. Où vous transporterait-elle ?
Peut-être dans le futur, mais j’aurais peur de ne pas y trouver que du bien. Je pense que je resterais ici.
Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?
Les voyages, le camping, la marche et la natation.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Je travaille sur différents projets pour divers clients, dont un pour LUMAS !