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Sebastian Magnani
Mais que fait donc ce super-héros après avoir libéré la ville de ses criminels et autres gangs impitoyables ? Il prend sa pause, pardi : en sirotant un cognac au bar d’un hôtel magnifiquement… En savoir plus
Introduction Curriculum vitæ Expositions Entrevue
The Wine Cellar II
Daily Bat
à partir de CHF 799
The Wine Cellar II
Daily Bat
à partir de CHF 799
Cigar Lounge
Daily Bat
CHF 2 590
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Daily Bat
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Teatime I
Daily Bat
à partir de CHF 950
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Daily Bat
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Venice
Daily Bat
à partir de CHF 990
Venice
Daily Bat
à partir de CHF 990
The Wine Cellar I
Daily Bat
à partir de CHF 799
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Daily Bat
à partir de CHF 799
Champagne I
Daily Bat
à partir de CHF 799
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à partir de CHF 799
After Work II
DARLINGS
CHF 199
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DARLINGS
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After Work I
DARLINGS
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The Book
DARLINGS
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PETITES
CHF 219
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Coffee and News
PETITES
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PETITES
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After Work II
PETITES
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PETITES
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After Work I
PETITES
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After Work I
PETITES
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Informations de fond sur Sebastian Magnani
Introduction
Mais que fait donc ce super-héros après avoir libéré la ville de ses criminels et autres gangs impitoyables ? Il prend sa pause, pardi : en sirotant un cognac au bar d’un hôtel magnifiquement décoré, fumant son cigare et lisant le journal. Après une dure journée de labeur, pleine de défis et de combats acharnés, il a bien mérité un peu de repos. Lui aussi a besoin de ses moments de quiétude. C’est ainsi que Sebastian Magnani met en scène ses modèles narratifs : de façon pour le moins insolite. Et de convaincre le spectateur au passage. Car après tout, l’homme chauve-souris n’est-il pas ce paladin dépourvu de pouvoirs surnaturels, contraint de vaincre ses adversaires par la force et l’ingéniosité ? Qu’il ait besoin de se détendre, cela n’est que trop évident. Ce faisant, il conserve le plus naturellement du monde son style unique, sa sombre élégance.
Sebastian Magnani capture avec brio l’aura de ces mystérieuses figures qu’il transpose dans des lieux dont la réalité nous est familière. À la surprise générale, il rapproche les mondes – la plus célèbre des chauves-souris devenue cet homme auquel nous pouvons enfin nous identifier. Il a choisi de le montrer dans un moment fortuit où, vêtu de son costume de travail, il a poussé les portes du bar. Magnani recrée son propre protagoniste : un personnage fascinant dont le comportement diffère de celui que nous escomptions.
Sebastian Magnani a découvert sa passion pour la photographie au cours d’une formation de maquettiste. En 2011, après cinq ans passés au sein de l’équipe créa d’une agence de pub, il décide de suivre cette dernière et d’en faire son métier. Artiste photographe établi à Zurich, il y mène depuis divers projets artistiques. Sa série Daily Bat est née d’un débat animé qui ambitionnait de répondre à la question : « Qui est donc le plus cool des super-héros ? ».
Sebastian Magnani capture avec brio l’aura de ces mystérieuses figures qu’il transpose dans des lieux dont la réalité nous est familière. À la surprise générale, il rapproche les mondes – la plus célèbre des chauves-souris devenue cet homme auquel nous pouvons enfin nous identifier. Il a choisi de le montrer dans un moment fortuit où, vêtu de son costume de travail, il a poussé les portes du bar. Magnani recrée son propre protagoniste : un personnage fascinant dont le comportement diffère de celui que nous escomptions.
Sebastian Magnani a découvert sa passion pour la photographie au cours d’une formation de maquettiste. En 2011, après cinq ans passés au sein de l’équipe créa d’une agence de pub, il décide de suivre cette dernière et d’en faire son métier. Artiste photographe établi à Zurich, il y mène depuis divers projets artistiques. Sa série Daily Bat est née d’un débat animé qui ambitionnait de répondre à la question : « Qui est donc le plus cool des super-héros ? ».
Curriculum vitæ
1985 | Naissance dans le Valais (Suisse) |
Depuis 2011 Travaille comme artiste photographe | |
Vit et travaille à Zurich |
Distinctions
2021 Fapa, Conceptual, 2nd Place Winner
2019 Lürzer’s Archive 200 Best AD Photo
2015 Go See Award, Stills, Gold & Public
2014 Red Dot Award, Communication
2015 One Eye Land Awards, Fineart, Gold
2019 Lürzer’s Archive 200 Best AD Photo
2015 Go See Award, Stills, Gold & Public
2014 Red Dot Award, Communication
2015 One Eye Land Awards, Fineart, Gold
Expositions
2021 | Lyons Gallery, Sydney, Australia Galerie Youn, Montréal, Canada Photoville4600, Olten, Switzerland |
2020 | Photo L.A., USA Photo Basel, Switzerland Gallerie Alex Schlesinger, Zurich, Switzerland |
2019 | Gallerie ADC, Zurich, Switzerland Coworking Tessinerplatz, Zurich, Switzerland |
2018 | Reel Luxury, Shanghai, China Mythenschloss, Zurich, Switzerland |
2017 | Up & Coming Offline, Zurich, Switzerland |
2015 | Freitag Flag Ship Store, Zurich, Switzerland |
2014 | Photo Festival Cluj, Romania World Wide Art L.A., USA |
2013 | Salon de la Photo Paris, France Musée d'Histoire naturelle, Neuchâtel, Switzerland Photo Festival Cluj, Romania |
Entrevue
Picasso a dit un jour « Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver. » Et vous, où trouvez-vous votre inspiration artistique ?
Personnellement, je pense que l’art est une somme d’expériences et d’impressions emmagasinées dans notre subconscient. Après une réaction chimique, ressentie comme un big bang surgi du pur néant, une idée finit par émerger pour se manifester sous la forme d’une œuvre d’art, de quelque de chose de vivant.
De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
Je commence systématiquement par réaliser un croquis. Ensuite, je navigue sur internet pour essayer de trouver le meilleur emplacement possible. Je me rends sur place afin d’explorer le lieu sélectionné et détermine au passage quel sera le meilleur moment pour y prendre des photos. Je contacte les responsables du lieu, rassemble quelques objets si nécessaire. Pendant ce temps, je booke l’un de mes deux modèles. Il arrive parfois que ma compagne ou moi-même les remplacions. Vient alors le moment du shooting. Parmi la kyrielle de prises de vue que je réalise, j’en retiens une seule. C’est à Londres que je fais nettoyer et retoucher le cliché. Enfin, je peaufine l’ambiance et la coloration de la version finale.
Quel est votre livre préféré ?
J’aime la diversité en littérature. Dans le passé, j’avais lu tous les livres de Hermann Hesse. Aujourd’hui, j’apprécie la simplicité des écrits de Robert Seethaler.
Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
Il y a tellement d’artistes intéressants : Damien Hirst, Jeff Koons, Kaws, David La Chapelle. Mais maintenant que j’ai visionné la MasterClass de Jeff Koons et que je suis abonné au compte Instagram de Damien Hirst, j’aimerais bien échanger quelques mots avec David La Chapelle. Partager ses expériences, ressentir son énergie, écouter son point de vue, passer du bon temps ensemble, tout simplement.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?
Longtemps, j’ai ressenti le besoin d’être complètement autonome. Je l’étais déjà en grande partie comme photographe indépendant, mais en tant qu’artiste, je ne dépends plus du client, qui a toujours une mission à placer au dernier moment, et peux créer la meilleure œuvre possible, non pas en une semaine ou un mois, mais en prenant le temps nécessaire. Je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux. C’est une vie presque parfaite pour moi. La satisfaction est bien plus grande, car je n’ai plus à faire de compromis. L’œuvre est de moi-même à 100 %. En cette époque si agitée, j’ai l’assurance de laisser derrière moi quelque chose qui, espérons-le, durera des décennies voire des siècles. Toute personne ayant accroché sur ses murs l’une de mes photos fait partie de moi autant que je fais partie d’elle. Recevoir un tel soutien de mes semblables est pour moi le plus beau des cadeaux.
Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé ?
Par ma compagne, tout d’abord, parce que nous passons la majeure partie du temps ensemble et que je lui demande régulièrement conseil. Mais aussi bien sûr par mes amis que je rencontre de temps à autre pour échanger des idées.
Imaginez que vous possédiez une machine à remonter le temps. Où vous transporterait-elle ?
J’aimerais beaucoup savoir à quoi ressemblera le monde de demain, s’il a évolué ou régressé. Je suis un inconditionnel de Matrix et de Blade Runner 2049.
Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?
J’aime me divertir en regardant des films et en écoutant de la musique. En été, je fais beaucoup de randonnée en montagne. Récemment, j’ai fait l’acquisition de ma première moto. J’aime la conduire pour décrocher un peu. Juste pour le plaisir de se déconnecter, d’appuyer sur l’accélérateur, de se pencher dans les virages et d’explorer la Suisse.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
J’ai une liste de plus de cinquante nouvelles Daily Bat’s et j’aimerais les emmener autour du monde. Publier un album serait formidable également. Mais pour l’heure, je suis encore en train de planifier comment et avec qui je pourrais au mieux réaliser cela. Certes, ce ne sont pas les idées qui me manquent, mais pour l’instant, je me concentre sur le plus cool des super-héros, d’autant qu’il sera bientôt plus facile de voyager.
Personnellement, je pense que l’art est une somme d’expériences et d’impressions emmagasinées dans notre subconscient. Après une réaction chimique, ressentie comme un big bang surgi du pur néant, une idée finit par émerger pour se manifester sous la forme d’une œuvre d’art, de quelque de chose de vivant.
De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
Je commence systématiquement par réaliser un croquis. Ensuite, je navigue sur internet pour essayer de trouver le meilleur emplacement possible. Je me rends sur place afin d’explorer le lieu sélectionné et détermine au passage quel sera le meilleur moment pour y prendre des photos. Je contacte les responsables du lieu, rassemble quelques objets si nécessaire. Pendant ce temps, je booke l’un de mes deux modèles. Il arrive parfois que ma compagne ou moi-même les remplacions. Vient alors le moment du shooting. Parmi la kyrielle de prises de vue que je réalise, j’en retiens une seule. C’est à Londres que je fais nettoyer et retoucher le cliché. Enfin, je peaufine l’ambiance et la coloration de la version finale.
Quel est votre livre préféré ?
J’aime la diversité en littérature. Dans le passé, j’avais lu tous les livres de Hermann Hesse. Aujourd’hui, j’apprécie la simplicité des écrits de Robert Seethaler.
Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
Il y a tellement d’artistes intéressants : Damien Hirst, Jeff Koons, Kaws, David La Chapelle. Mais maintenant que j’ai visionné la MasterClass de Jeff Koons et que je suis abonné au compte Instagram de Damien Hirst, j’aimerais bien échanger quelques mots avec David La Chapelle. Partager ses expériences, ressentir son énergie, écouter son point de vue, passer du bon temps ensemble, tout simplement.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?
Longtemps, j’ai ressenti le besoin d’être complètement autonome. Je l’étais déjà en grande partie comme photographe indépendant, mais en tant qu’artiste, je ne dépends plus du client, qui a toujours une mission à placer au dernier moment, et peux créer la meilleure œuvre possible, non pas en une semaine ou un mois, mais en prenant le temps nécessaire. Je fais ce que je veux, où je veux et quand je veux. C’est une vie presque parfaite pour moi. La satisfaction est bien plus grande, car je n’ai plus à faire de compromis. L’œuvre est de moi-même à 100 %. En cette époque si agitée, j’ai l’assurance de laisser derrière moi quelque chose qui, espérons-le, durera des décennies voire des siècles. Toute personne ayant accroché sur ses murs l’une de mes photos fait partie de moi autant que je fais partie d’elle. Recevoir un tel soutien de mes semblables est pour moi le plus beau des cadeaux.
Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé ?
Par ma compagne, tout d’abord, parce que nous passons la majeure partie du temps ensemble et que je lui demande régulièrement conseil. Mais aussi bien sûr par mes amis que je rencontre de temps à autre pour échanger des idées.
Imaginez que vous possédiez une machine à remonter le temps. Où vous transporterait-elle ?
J’aimerais beaucoup savoir à quoi ressemblera le monde de demain, s’il a évolué ou régressé. Je suis un inconditionnel de Matrix et de Blade Runner 2049.
Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?
J’aime me divertir en regardant des films et en écoutant de la musique. En été, je fais beaucoup de randonnée en montagne. Récemment, j’ai fait l’acquisition de ma première moto. J’aime la conduire pour décrocher un peu. Juste pour le plaisir de se déconnecter, d’appuyer sur l’accélérateur, de se pencher dans les virages et d’explorer la Suisse.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
J’ai une liste de plus de cinquante nouvelles Daily Bat’s et j’aimerais les emmener autour du monde. Publier un album serait formidable également. Mais pour l’heure, je suis encore en train de planifier comment et avec qui je pourrais au mieux réaliser cela. Certes, ce ne sont pas les idées qui me manquent, mais pour l’instant, je me concentre sur le plus cool des super-héros, d’autant qu’il sera bientôt plus facile de voyager.
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